mardi 15 janvier 2013

Valence: architecture

Dans le message "Valence 2011", j'avais montré la modernité de la "Cité des Arts et des Sciences".

En janvier 2013 nous avons découvert la richesse architecturale d'une ville née il y a deux mille quatre cents ans, qui a connu la présence ibérique, phénicienne, arabe avant d'être reconquise par Rodrigue (Le Cid) qui en est devenu le roi autoproclamé de 1094 à 1099). Napoléon et les français en ont été chassés en 1808 et les Valenciens en sont très fiers.

Ainsi trouve-ton des tours et des remparts arabes, des constructions montrant la puissance de la religion catholique, d'autres prouvant la richesse des bourgeois du centre ville, des banques opulentes, des percées haussmanniennes, des bâtisses copiées sur Paris, des folies baroques, des immeubles typiquement ibères. Et cette variété laisse toutefois une impression d'unité valencienne.

La ville a connu de nombreuses inondations dont celle de 1957 a décidé la municipalité de détourner le fleuve Turia dans les années 1960 et de garder son lit comme poumon vert, lieu de stades, de parcs...

Le marché central

La cathédrale, place de la Reine

Clocher de la cathédrale

Le stade de football

Le Palais des congrès

Balcons andalous

Façades andalouses

Tour en centre ville

Vue d'ensemble de la cathédrale

Balcons ostentatoires

Façade aux danseuses antiques en céramique bleue régionale.



Les inévitables arènes

Pont sur le lit de la Turia

Tour arabe (aavec les trous des canons napoléoniens)

Tour arabe

Dôme du marché couvert

Plais de la soie

Colonnes au Palais de la soie (classé au patrimoine de l'Humanité)

Fierté andalouse. (Il y a de quoi!)

Céramiques au marché sentral

Palais de la soie


Créneaux au Palais de la soie.

Ayuntamento (hôtel de ville)

Façade du Palais du Marquis de Los Do Aguas

Façade de la Banque de Valence

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